Statistiques individuelles
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Robert Mercier tient son nom de sa mère Jeanne Mercier, qui lui donne naissance sans père connu. Gaston Alfred Furois le reconnaît finalement comme son fils en 1924, peu avant son mariage avec sa mère le 4 {{date-|octobre 1924}}<ref>{{Lien web |titre=Archives de Paris |url=http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjAtMTEtMjYiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjgwNTcyO3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-393,-230&uielem_rotate=F&uielem_islocked=0&uielem_zoom=110 |site=archives.paris.fr |consulté le=2021-09-20 |page=21}}</ref>. Il en tire le surnom « Furois », qui est notamment parfois utilisé par la presse. Il est aussi parfois surnommé «
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Robert Mercier tient son nom de sa mère Jeanne Mercier, qui lui donne naissance sans père connu. Gaston Alfred Furois le reconnaît finalement comme son fils en 1924, peu avant son mariage avec sa mère le 4 {{date-|octobre 1924}}<ref>{{Lien web |titre=Archives de Paris |url=http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjAtMTEtMjYiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjgwNTcyO3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-393,-230&uielem_rotate=F&uielem_islocked=0&uielem_zoom=110 |site=archives.paris.fr |consulté le=2021-09-20 |page=21}}</ref>. Il en tire le surnom « Furois », qui est notamment parfois utilisé par la presse. Il est aussi parfois surnommé « Robicco »<ref name=parissoir1938>{{Lien web |langue=fr |titre=Paris-soir 7 avril 1938 – (7-avril-1938) |url=https://www.retronews.fr/journal/paris-soir/7-avril-1938/131/95867/8 |site=RetroNews – Le site de presse de la BnF |consulté le=2021-12-02}}</ref>.
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Il joue comme attaquant au [[Club français]], un club parisien qui dispose alors d’une des meilleures équipes de football du pays. Il remporte avec son club la [[Coupe de France de football|Coupe de France]] en [[Coupe de France de football 1930-1931|1931]] en
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Il joue comme attaquant au [[Club français]], un club parisien qui dispose alors d’une des meilleures équipes de football du pays. Il remporte avec son club la [[Coupe de France de football|Coupe de France]] en [[Coupe de France de football 1930-1931|1931]], en se montrant particulièrement brillant. Il inscrit un doublé en demi-finale contre l’OGC Nice<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Le Matin 13 avril 1931 – (13-avril-1931) |url=https://www.retronews.fr/journal/le-matin/13-avril-1931/66/158193/4 |site=RetroNews – Le site de presse de la BnF |consulté le=2021-12-02}}</ref>, puis un nouveau but en finale contre le [[Montpellier Hérault Sport Club|SO Montpellier]] (3-0), quelques jours avant sa première sélection en équipe de France<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Le Journal 4 mai 1931 – (4-mai-1931) |url=https://www.retronews.fr/journal/le-journal/4-mai-1931/129/110783/5 |site=RetroNews – Le site de presse de la BnF |consulté le=2021-12-02}}</ref>. Il participe aussi à la première édition professionnelle du [[championnat de France de football|championnat de France]] en [[Championnat de France de football 1932-1933|1932-1933]], dont il finit co-meilleur buteur avec l’Allemand du [[Stade rennais Football Club|Stade rennais]] [[Walter Kaiser]], malgré la relégation de son équipe.
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[[Fichier:RC_Paris_1936.jpg|alt=Photo d’équipe sur deux rangs, dont l’un où les joueurs sont assis. Une coupe est posée devant le premier rang.|vignette|gauche|Les auteurs du doublé en 1936 avec le RC Paris. Mercier est au premier rang à gauche.]]
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[[Fichier:RC_Paris_1936.jpg|alt=Photo d’équipe sur deux rangs, dont l’un où les joueurs sont assis. Une coupe est posée devant le premier rang.|vignette|gauche|Les auteurs du doublé en 1936 avec le RC Paris. Mercier est au premier rang à gauche.]]
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Entre 1931 et 1933, il est sélectionné à six reprises en [[équipe de France de football|équipe de France]]. Il marque trois buts lors de ses deux premières sélections, en [[Équipe de France de football en 1931|1931]] : un doublé en mai contre l'[[Équipe d’Angleterre de football|Angleterre]], battue 5-2<ref>{{Lien web |titre= 14 mai 1931 5 France 2 Angleterre – Fédération Française de Football |url=https://www.fff.fr/selection/matchs/2820-france-angleterre.html |site=www.fff.fr |consulté le=2021-12-02}}</ref>, puis un but contre les [[Équipe des Pays-Bas de football|Pays-Bas]] en novembre. Devenu joueur du Racing, il connaît une septième et dernière sélection en novembre 1935 contre la [[Équipe de Suède de football|Suède]].
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Entre 1931 et 1933, il est sélectionné à six reprises en [[équipe de France de football|équipe de France]]. Il marque trois buts lors de ses deux premières sélections, en [[Équipe de France de football en 1931|1931]] : un doublé en mai contre l'[[Équipe d’Angleterre de football|Angleterre]], battue 5-2<ref>{{Lien web |titre= 14 mai 1931 5 France 2 Angleterre – Fédération Française de Football |url=https://www.fff.fr/selection/matchs/2820-france-angleterre.html |site=www.fff.fr |consulté le=2021-12-02}}</ref>, puis un but contre les [[Équipe des Pays-Bas de football|Pays-Bas]] en novembre. Devenu joueur du Racing, il connaît une septième et dernière sélection en novembre 1935 contre la [[Équipe de Suède de football|Suède]].
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En 1936, lors d’un match tumultueux opposant les Parisiens à une équipe de [[Montevideo]] (Uruguay), il subit une grave blessure au genou, qui entraîne la fin prématurée de sa carrière de footballeur en avril 1938<ref name=parissoir1938 />, alors qu’il n’a que 28 ans, après une dernière pige d’un an au [[Arras Football Association|RC Arras]], en {{2e}} division{{Note|Le site national-football-teams.com indique qu’il joue au Stade rennais en 1938-1939, mais cela semble être une confusion avec le plus jeune René Mercier.}}. Un jubilé opposant le RC Paris et le [[FC Sochaux]], deux des principaux clubs du moment, est organisé en son honneur<ref name=parissoir1938 />.
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Il est démarre ensuite une carrière d’entraîneur. Il dirige l’équipe du [[Football Club dieppois|FC Dieppe]] en D2 en 1938-1939<ref>{{Lien web |titre=France – Trainers of First and Second Division Clubs |url=http://www.rsssf.com/players/trainers-fran-clubs.html |site=www.rsssf.com |consulté le=2021-09-20}}</ref>, puis celle de l[[Association amicale de la jeunesse blésoise|AAJ Blois]], entre 1942 et 1944.
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Il est démarre ensuite une carrière d’entraîneur. Il dirige l’équipe du [[Football Club dieppois|FC Dieppe]] en D2 en 1938-1939<ref>{{Lien web |titre=France – Trainers of First and Second Division Clubs |url=http://www.rsssf.com/players/trainers-fran-clubs.html |site=www.rsssf.com |consulté le=2021-09-20}}</ref>, puis celle de l[[Association amicale de la jeunesse blésoise|AAJ Blois]], entre 1942 et 1944.
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!rowspan=2| Saison !!rowspan=2| Club !!colspan=3| Championnat !!colspan=3|Coupe<ref>{{Lien web |url=https://www.footballdatabase.eu/en/player/details/18270-robert-mercier |titre=Robert Mercier |site=www.footballdatabase.eu |consulté le=2021-12-02}}</ref>
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!rowspan=2| Saison !!rowspan=2| Club !!colspan=3| Championnat !!colspan=3|Coupe<ref>{{Lien web |url=https://www.footballdatabase.eu/en/player/details/18270-robert-mercier |titre=Robert Mercier |site=www.footballdatabase.eu |consulté le=2021-12-02}}</ref>
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