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”’Louis Benoît”’ est un militaire et naturaliste né le [[16 décembre]] [[1755]] aux [[Les Ponts-de-Martel|Ponts-de-Martel]] et mort le [[6 avril]] [[1830]] aux [[Les Ponts-de-Martel|Ponts-de-Martel]].
”’Louis Benoît”’ est un militaire et naturaliste né le [[16 décembre]] [[1755]] aux [[Les Ponts-de-Martel|Ponts-de-Martel]] et mort le [[6 avril]] [[1830]] aux [[Les Ponts-de-Martel|Ponts-de-Martel]].
== Biographie ==
== Biographie ==
Louis Benoît est le fils de [[Louis Benoît (père)|Louis Benoît]] (dit Major Benoît) et de Jeanne-Marie Jean-Mairet, première femme de ce dernier. Comme son père avant lui, Louis Benoît est un peintre sur émail et fabricant de talent.
Louis Benoît est le fils de [[Louis Benoît (père)|Louis Benoît]] (dit Major Benoît) et de Jeanne-Marie Jean-Mairet, première femme de ce dernier. Comme son père avant lui, Louis Benoît est un peintre sur émail et fabricant de cadrans de talent. Comme celui-ci toujours il
Il est l’auteur d’une flore peinte restée inédite aujourd’hui en possession de la Bibliothèque publique et universitaire de Neuchâtel<ref>{{Article|auteur1=JMP|titre=Un herbier du XIXe renforce un pôle d’excellence de la BPUN|périodique=L’Express|date=27.03.2007|lire en ligne=http://www.lexpressarchives.ch/Olive/APA/SwissSNP_Fr/SharedView.Article.aspx?href=EXP%2F2007%2F03%2F27&id=Ar00902&sk=69176824&viewMode=image|pages=9}}</ref>. Loin d’être de simples dessins galants, les illustrations sont ponctuées d’informations notes sur les habitats ou encore les usages.
Il est l’auteur d’une flore peinte restée inédite aujourd’hui en possession de la Bibliothèque publique et universitaire de Neuchâtel<ref>{{Article|auteur1=JMP|titre=Un herbier du XIXe renforce un pôle d’excellence de la BPUN|périodique=L’Express|date=27.03.2007|lire en ligne=http://www.lexpressarchives.ch/Olive/APA/SwissSNP_Fr/SharedView.Article.aspx?href=EXP%2F2007%2F03%2F27&id=Ar00902&sk=69176824&viewMode=image|pages=9}}</ref>. Fait notoire, loin d’être de simples dessins galants, les illustrations sont ponctuées d’informations notes sur les [[Habitat (écologie)|habitats]] ou encore les usages<ref>Les usages culinaires ont été recensés dans {{Ouvrage|titre=Des plantes à croquer}}</ref>.
Envoie des spécimens de la vallée des Ponts à ses contemporains<ref>{{Article|langue=français|titre=La Société neuchâteloise des sciences naturelles entend trois communications sur des su;eis très divers|périodique=L´Express|date=19.12.1935|lire en ligne=http://www.lexpressarchives.ch/Olive/APA/SwissSNP_Fr/SharedView.Article.aspx?href=EXP%2F1935%2F12%2F19&id=Ar00600&sk=0F905A08&viewMode=image|pages=6}}</ref>. Son activité de naturaliste est récompensée d’une nomination en tant que membre honoraire de la [[Société linnéenne de Paris]].
Envoie des spécimens de la vallée des Ponts à ses contemporains<ref>{{Article|langue=français|titre=La Société neuchâteloise des sciences naturelles entend trois communications sur des su;eis très divers|périodique=L´Express|date=19.12.1935|lire en ligne=http://www.lexpressarchives.ch/Olive/APA/SwissSNP_Fr/SharedView.Article.aspx?href=EXP%2F1935%2F12%2F19&id=Ar00600&sk=0F905A08&viewMode=image|pages=6}}</ref>. Son activité de naturaliste est récompensée d’une nomination en tant que membre honoraire de la [[Société linnéenne de Paris]].
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=== Bibliographie ===
=== Bibliographie ===
* Marie-Marguerite Duckert-Henriod, “Louis Benoît, père, émailleur et naturaliste (1755-1830)”, dans Michel Schlup (dir), ”Biographies neuchâteloises”, Hauterive, G. Attinger, 1998, T. 2, p. 19-22.
* Louis Benoît, François Felber, Joëlle Magnin-Gonze, Michel Schlup, Jean-Louis Moret, Thierry Châtelain, ”Des plantes à croquer”, Neuchâtel, [[Bibliothèque publique et universitaire de Neuchâtel]], 2014.
* Louis Benoît, François Felber, Joëlle Magnin-Gonze, Michel Schlup, Jean-Louis Moret, Thierry Châtelain, ”Des plantes à croquer”, Neuchâtel, [[Bibliothèque publique et universitaire de Neuchâtel]], 2014.
*Thierry Châtelain, “Un trésor du patrimoine neuchâtelois”, ”L’ermite herbu”, 2011, no. 42, p. 27.
*Thierry Châtelain, “Un trésor du patrimoine neuchâtelois”, ”L’ermite herbu”, 2011, no. 42, p. 27.
*Marie-Marguerite Duckert-Henriod, “Louis Benoît, père, émailleur et naturaliste (1755-1830)”, dans Michel Schlup (dir), ”Biographies neuchâteloises”, Hauterive, G. Attinger, 1998, T. 2, p. 19-22.
=== Liens externes ===
=== Liens externes ===