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* [[Antagoniste]]s de l'[[interleukine 6]] : ils sont
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* [[Antagoniste]]s de l'[[interleukine 6]] : ils sont cités comme d’autres produits à tester lors de cet essai, comme le [[tocilizumab]], les anticorps de personnes guéries par l’intermédiaire du [[Coviplasm|plasma de convalescents]], le [[remdesivir]]…
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* [[Chlorpromazine]] (CPZ) : en France, en mai 2020, un {{Citation|essai thérapeutique pilote de phase {{III}} multicentrique, randomisé, contrôlé (traitement standard vs. CPZ + traitement standard) et en simple insu}} démarre sur 40 malades, pour tester l’éventuelle capacité de la CPZ à enrayer l’évolution défavorable de l’infection {{Citation|chez des patients oxygénorequérants sans nécessité de soins en réanimation}}, et aussi tester un éventuel effet de réduction de la [[Contagion#Données_récentes_sur_la_contagion_par_les_bioaérosols|contagiosité]] du SARS-CoV-2<ref name=PlazeEssai2020>{{Article |langue=fr |prénom1=Mario |nom1=Plaze |prénom2=David |nom2=Attali |prénom3=Anne-Cécile |nom3=Petit |prénom4=Michael |nom4=Blatzer |titre=Repositionnement de la chlorpromazine dans le traitement du COVID-19: étude reCoVery |périodique=L’Encéphale |date=2020-04 |pmcid=PMC7188634 |doi=10.1016/j.encep.2020.04.010 |lire en ligne=https://linkinghub.elsevier.com/retrieve/pii/S0013700620300798 |consulté le=2020-05-05 |pages=S0013700620300798}}</ref>. Ce travail, qui est coordonné par le docteur Marion Plaze<ref>psychiatre et cheffe de service à l’hôpital Sainte-Anne à Paris (GHU PARIS Psychiatrie & Neurosciences)</ref>, teste les propriétés [[antiviral]]es de la chlorpromazine contre le virus de la COVID-19<ref name=PlazeEssai2020/>. Et deux équipes scientifiques (en 2014 et 2018) avaient déjà montré (sur [[Culture cellulaire|cultures cellulaires]] ”in vitro”) des effets de cette molécule contre la duplication des coronavirus du [[SRAS]] (maladie émergente apparue en [[2002]]) puis du [[MERS]] (apparu en [[2012]])<ref name=PlazeEssai2020/>. <br>En 2020, dans plusieurs pays, les unités psyCOVID ont constaté que leurs patients semblaient développer des formes moins symptomatiques de la COVID que ce qui était statistiquement attendu.<br>Cette molécule qui est largement distribuée dans l’organisme ([[salive]], [[poumon]]s et [[cerveau]]) est assez bien tolérée, s’est, en 2020, avérée, lors de travaux conduits par l’Institut Pasteur, aussi freiner ”in vitro” la duplication du [[SARS-CoV-2]], tant en cultures de cellules animales qu’humaines ; elle a semblé, dans un service hospitalier de psychiatrie, nettement diminuer la sévérité des symptômes chez certains patients « à risque » ([[obésité]], troubles [[cardiovasculaire]]s) qui prenaient ce médicament, tant aux stades précoces que tardifs de l’infection<ref>communiqué publié ce lundi 4 mai 2020.</ref>{{,}}<ref name=FtTvinfo>{{Lien web |langue=fr |titre=Traitement contre le Covid-19 : les effets d’un antipsychotique prometteurs, une première étude sur l’humain lancée en France |url=https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/traitement-contre-le-covid-19-les-effets-dun-antipsychotique-prometteurs-une-premiere-etude-sur-lhomme-lancee-en-france_3948041.html |site=Franceinfo |date=2020-05-04 |consulté le=2020-05-05}}</ref>.
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* [[Chlorpromazine]] (CPZ) : en France, en mai 2020, un {{Citation|essai thérapeutique pilote de phase {{III}} multicentrique, randomisé, contrôlé (traitement standard vs. CPZ + traitement standard) et en simple insu}} démarre sur 40 malades, pour tester l’éventuelle capacité de la CPZ à enrayer l’évolution défavorable de l’infection {{Citation|chez des patients oxygénorequérants sans nécessité de soins en réanimation}}, et aussi tester un éventuel effet de réduction de la [[Contagion#Données_récentes_sur_la_contagion_par_les_bioaérosols|contagiosité]] du SARS-CoV-2<ref name=PlazeEssai2020>{{Article |langue=fr |prénom1=Mario |nom1=Plaze |prénom2=David |nom2=Attali |prénom3=Anne-Cécile |nom3=Petit |prénom4=Michael |nom4=Blatzer |titre=Repositionnement de la chlorpromazine dans le traitement du COVID-19: étude reCoVery |périodique=L’Encéphale |date=2020-04 |pmcid=PMC7188634 |doi=10.1016/j.encep.2020.04.010 |lire en ligne=https://linkinghub.elsevier.com/retrieve/pii/S0013700620300798 |consulté le=2020-05-05 |pages=S0013700620300798}}</ref>. Ce travail, qui est coordonné par le docteur Marion Plaze<ref>psychiatre et cheffe de service à l’hôpital Sainte-Anne à Paris (GHU PARIS Psychiatrie & Neurosciences)</ref>, teste les propriétés [[antiviral]]es de la chlorpromazine contre le virus de la COVID-19<ref name=PlazeEssai2020/>. Et deux équipes scientifiques (en 2014 et 2018) avaient déjà montré (sur [[Culture cellulaire|cultures cellulaires]] ”in vitro”) des effets de cette molécule contre la duplication des coronavirus du [[SRAS]] (maladie émergente apparue en [[2002]]) puis du [[MERS]] (apparu en [[2012]])<ref name=PlazeEssai2020/>. <br>En 2020, dans plusieurs pays, les unités psyCOVID ont constaté que leurs patients semblaient développer des formes moins symptomatiques de la COVID que ce qui était statistiquement attendu.<br>Cette molécule qui est largement distribuée dans l’organisme ([[salive]], [[poumon]]s et [[cerveau]]) est assez bien tolérée, s’est, en 2020, avérée, lors de travaux conduits par l’Institut Pasteur, aussi freiner ”in vitro” la duplication du [[SARS-CoV-2]], tant en cultures de cellules animales qu’humaines ; elle a semblé, dans un service hospitalier de psychiatrie, nettement diminuer la sévérité des symptômes chez certains patients « à risque » ([[obésité]], troubles [[cardiovasculaire]]s) qui prenaient ce médicament, tant aux stades précoces que tardifs de l’infection<ref>communiqué publié ce lundi 4 mai 2020.</ref>{{,}}<ref name=FtTvinfo>{{Lien web |langue=fr |titre=Traitement contre le Covid-19 : les effets d’un antipsychotique prometteurs, une première étude sur l’humain lancée en France |url=https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/traitement-contre-le-covid-19-les-effets-dun-antipsychotique-prometteurs-une-premiere-etude-sur-lhomme-lancee-en-france_3948041.html |site=Franceinfo |date=2020-05-04 |consulté le=2020-05-05}}</ref>.
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