Erreurs rectifiées concernant cousin ou petit-neveu soi-disant "vainqueurs des 24 Heures du Mans.
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Après un retour vers le roman historique, ”Indigo” (2010), qui paraît en Italie avec une préface de Claudio Magris, et ”Miroirs” (2011), il rejoint les éditions Albin Michel qu’il avait quittées quelques années auparavant. Le premier livre qu’il y publie est la concrétisation d’un projet qui lui tenait à coeur: évoquer un personnage que Carlos Fuentes lui avait fait découvrir à l’époque où jeune écrivain celui-ci l’éduquait au monde de la création littéraire: Frida Kahlo. Il lui consacre trois livres, ”Frida Kahlo, la beauté terrible”, finaliste du prix Femina 2011; ”Les amants de Coyoacan”, qui raconte l’histoire d’amour improbable entre Frida Kahlo et Léon Trotsky; enfin ”Frida Kahlo par Gisèle Freund”. Initiateur de l’année Pierre benoit, destiné à célébrer le cinquantième anniversaire de la mort d’un écrivain dont le destin est à jamais lié à celui des éditions Albin Michel, il publie une biographie de ce dernier -”Pierre Benoit, l’écrivain paradoxal” – qui lui vaut trois prix dont un de l’Académie française. Editeur actif au sein des éditions Albin Michel, il n’en oublie pas pour autant de poursuivre un projet littéraire toujours marqué par l’histoire comme en témoignent plusieurs livres: ”L’An prochain à Grenade” (Prix méditerranéen 2014); ”Zazous” (Prix Jacque-Chabannes 2017), dont Thierry Voisin a écrit dans ”Télérama”, qu’il était un “portrait étincelant d’une jeunesse qui résiste à la barbarie nazie”; ou encore ”Laisse tomber les filles”, grand roman de la génération yéyé que la revue ”Elle” n’hésite pas à comparer au film d’Ettore Scola “Nous nous sommes tant aimés”. Une génération qu’il passe au crible dans un volumineux ”Dictionnaire amoureux des sixties”, publié aux éditions Plon, dans la célèbre collection “Les dictionnaires amoureux”. A noter que durant cette décennie, il décide de s’engager pour la défense de la langue française. Il consacre à ce thèùe plusieurs articles polémiques ainsi que quatre livres: ”Passion de la langue française; Passion des livres; Eloge du mensonge;” enfin: ”La langue française est un roman.” Né au sein d’une famille de coureur automobile, qui le firent rêver durant toute son enfance, ilk a décidé de poursuivre l’hommage qu’il leur avait rendu dans ”Les vice-Rois” et dans ”Cyclone.” Petit-neveu de Charles de Cortanze,
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Après un retour vers le roman historique, ”Indigo” (2010), qui paraît en Italie avec une préface de Claudio Magris, et ”Miroirs” (2011), il rejoint les éditions Albin Michel qu’il avait quittées quelques années auparavant. Le premier livre qu’il y publie est la concrétisation d’un projet qui lui tenait à coeur: évoquer un personnage que Carlos Fuentes lui avait fait découvrir à l’époque où jeune écrivain celui-ci l’éduquait au monde de la création littéraire: Frida Kahlo. Il lui consacre trois livres, ”Frida Kahlo, la beauté terrible”, finaliste du prix Femina 2011; ”Les amants de Coyoacan”, qui raconte l’histoire d’amour improbable entre Frida Kahlo et Léon Trotsky; enfin ”Frida Kahlo par Gisèle Freund”. Initiateur de l’année Pierre benoit, destiné à célébrer le cinquantième anniversaire de la mort d’un écrivain dont le destin est à jamais lié à celui des éditions Albin Michel, il publie une biographie de ce dernier -”Pierre Benoit, l’écrivain paradoxal” – qui lui vaut trois prix dont un de l’Académie française. Editeur actif au sein des éditions Albin Michel, il n’en oublie pas pour autant de poursuivre un projet littéraire toujours marqué par l’histoire comme en témoignent plusieurs livres: ”L’An prochain à Grenade” (Prix méditerranéen 2014); ”Zazous” (Prix Jacque-Chabannes 2017), dont Thierry Voisin a écrit dans ”Télérama”, qu’il était un “portrait étincelant d’une jeunesse qui résiste à la barbarie nazie”; ou encore ”Laisse tomber les filles”, grand roman de la génération yéyé que la revue ”Elle” n’hésite pas à comparer au film d’Ettore Scola “Nous nous sommes tant aimés”. Une génération qu’il passe au crible dans un volumineux ”Dictionnaire amoureux des sixties”, publié aux éditions Plon, dans la célèbre collection “Les dictionnaires amoureux”. A noter que durant cette décennie, il décide de s’engager pour la défense de la langue française. Il consacre à ce thèùe plusieurs articles polémiques ainsi que quatre livres: ”Passion de la langue française; Passion des livres; Eloge du mensonge;” enfin: ”La langue française est un roman.” Né au sein d’une famille de coureur automobile, qui le firent rêver durant toute son enfance, ilk a décidé de poursuivre l’hommage qu’il leur avait rendu dans ”Les vice-Rois” et dans ”Cyclone.” Petit-neveu de Charles de Cortanze, 8e place au classement des [[24 Heures du Mans 1937]], au volant d’une Peugeot Darl’Mat ; cousin d’[[André de Cortanze]], ingénieur et, entre autre, “chef de projet course“ chez Alpine-Renault puis chez [[Peugeot-Talbot Sport]], il publie coup sur coup: ”La légende des 24 Heures du Mans ; Les 24 Heures du Mans pour les nuls” et ”Le Goût de l’automobile.” En 2019, il publie un nouveau roman, consacré à la sulfureuse lesbienne sportive [[Violette Morris]], ”Femme qui court”, qui lui vaut le Prix Historia du roman.
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