Arènes de Mérida

{{Infobox Monument}}

{{Ficha de bien de interés cultural|integrar=|nombre=Plaza de Toros del Cerro de San Albín de Mérida|imagen=SP282 Plaza de Toros Extremadura Merida Spain 2 October 2012.JPG|mapa_loc=|mapa_loc_1=|declaración=BOE N.º 37 el 12 de febrero de 2015 (incoado)|figura=|código=|ubicación=[[Mérida (España)|Mérida]]|final=|estilo=}}

La ”’plaza de Toros de Mérida”’ est un [[Arène|arène taurine]] située dans la ville espagnole de [[Mérida (Espagne)|Mérida]], en [[Estrémadure]].

La ”’plaza de Toros de Mérida”’ est un [[Arène|arène taurine]] située dans la ville espagnole de [[Mérida (Espagne)|Mérida]], en [[Estrémadure]].

== Histoire ==

== Histoire ==

Le 30 décembre 1902, a été constituée la Sociedad Taurina Extremeña, qui aboutira à la construction des Arènes, qui seront construites à partir de 1903 et achevées en 1912.

Le 30 décembre 1902, a été constituée la Sociedad Taurina Extremeña, qui aboutira à la construction des Arènes, qui seront construites à partir de 1903 et achevées en 1912.

Pendant la [[Guerre d’Espagne|guerre civile espagnole]], devant l’impossibilité de la Caserne d’Artillerie à héberger la grande affluence de prisonniers républicains, en janvier 1939 les arènes sont utilisées comme [[Camps de concentration franquistes|camp de concentration franquiste]] placé dans la localité, qui au total arrivera à héberger 9 000 prisonniers <ref>{{Article |auteur1=González Cortés |prénom1=José Ramón |titre=Origen y desarrollo de los campos de concentración franquistas en Extremadura |périodique=Revista de estudios extremeños |volume=62 |numéro=1 |date=2006 |issn=0210-2854 |pmid= |doi= |lire en ligne= |consulté le= |pages=282 }}</ref>. Il fermera définitivement en octobre 1939, une fois la guerre terminée <ref>{{Lien web |auteur=Carlos Hernández de Miguel |titre=Campo de concentración de Mérida |url=http://www.loscamposdeconcentraciondefranco.es/campos/230}}</ref>.

Pendant la [[Guerre d’Espagne|guerre civile espagnole]], devant l’impossibilité de la Caserne d’Artillerie à héberger la grande affluence de prisonniers républicains, en janvier 1939 les arènes sont utilisées comme [[Camps de concentration franquistes|camp de concentration franquiste]] placé dans la localité, qui au total arrivera à héberger 9 000 prisonniers <ref>{{Article |auteur1=González Cortés |prénom1=José Ramón |titre=Origen y desarrollo de los campos de concentración franquistas en Extremadura |périodique=Revista de estudios extremeños |volume=62 |numéro=1 |date=2006 |issn=0210-2854 |pmid= |doi= |lire en ligne= |consulté le= |pages=282 }}</ref>. Il fermera définitivement en octobre 1939, une fois la guerre terminée <ref>{{Lien web |auteur=Carlos Hernández de Miguel |titre=Campo de concentración de Mérida |url=http://www.loscamposdeconcentraciondefranco.es/campos/230}}</ref>.

== Description ==

== Description ==

La plaza de toros de Mérida répond au modèle monumental, avec sa riche façade aux tons rouge et jaune, qu’a toujours la façade, recréa le modèle chromatique des bâtiments califaux.

La plaza de toros de Mérida répond au modèle monumental, avec sa riche façade aux tons rouge et jaune, qu’a toujours la façade, recréa le modèle chromatique des bâtiments califaux.

Tout l’ensemble externe répond à des références esthétiques du monde arabe ([[Néo-mudéjar|style néo-mudéjar]]), expression hispanique d’un romantisme. Elle est très semblable typologiquement aux arènes du Port de Sainte María, celle de [[Arènes de Jerez de la Frontera|Jerez de la Frontera]] et, surtout, aux [[Arènes de Malaga|Arènes de]] [[Malaga|Málaga]].

Tout l’ensemble externe répond à des références esthétiques du monde arabe ([[Néo-mudéjar|style néo-mudéjar]]), expression hispanique d’un romantisme. Elle est très semblable typologiquement aux arènes du Port de Sainte María, celle de [[Arènes de Jerez de la Frontera|Jerez de la Frontera]] et, surtout, aux [[Arènes de Malaga|Arènes de]] [[Malaga|Málaga]].