Lisbeth Birman-Oestreicher

Dans ce camp, la plupart des personnes sont rapidement acheminées vers des camps de concentration, mais d’autres constituent une sorte de population «permanente» qui n’est pas déportées pour des raisons variées. Les Allemands encouragent pour eux des activités «normales» comme le travail du métal, les services de santé, et des activités culturelles. Cependant, vers la fin de la guerre, tous ont été finalement déportés<ref>{{Lien web |langue=en |titre=Westerbork |url=https://encyclopedia.ushmm.org/content/en/article/westerbork |site=encyclopedia.ushmm.org |consulté le=2020-06-14}}</ref>.

Dans ce camp, la plupart des personnes sont rapidement acheminées vers des camps de concentration, mais d’autres constituent une sorte de population «permanente» qui n’est pas déportées pour des raisons variées. Les Allemands encouragent pour eux des activités «normales» comme le travail du métal, les services de santé, et des activités culturelles. Cependant, vers la fin de la guerre, tous ont été finalement déportés<ref>{{Lien web |langue=en |titre=Westerbork |url=https://encyclopedia.ushmm.org/content/en/article/westerbork |site=encyclopedia.ushmm.org |consulté le=2020-06-14}}</ref>.

La maîtresse du commandant du camp {{Lien|langue=nl|trad=Alfred Konrad Gemmeker|fr=Alfred Konrad Gemmeker}} apprécie beaucoup les modèles de Lisbeth et lui demande de lui en confectionner. Lisbeth s’arrange pour qu’aucun de ces tricots de soit terminé au moment des transports vers l’Allemagne. De ce fait, elle et son futur mari Otto Birman, un ingénieur chimiste, y échappent et sont sauvés des chambres à gaz<ref name=”:2″>{{Lien web |langue=nl |titre=Otto Birman & Lisbeth Oestreicher – Bevrijdingsportretten |url=https://bevrijdingsportretten.nl/portret/otto-birman-lisbeth-oestreicher/ |consulté le=2020-06-14}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=nl |titre=Familie Oestreicher |url=https://www.ru.nl/drillingsberichte/familie-oestreicher/ |site=‘Drillingsberichte’ 1937-1943 (NL) |consulté le=2020-06-14}}</ref>.

La maîtresse du commandant du camp [[Albert Konrad Gemmeker]] apprécie beaucoup les modèles de Lisbeth et lui demande de lui en confectionner. Lisbeth s’arrange pour qu’aucun de ces tricots de soit terminé au moment des transports vers l’Allemagne. De ce fait, elle et son futur mari Otto Birman, un ingénieur chimiste, y échappent et sont sauvés des chambres à gaz<ref name=”:2″>{{Lien web |langue=nl |titre=Otto Birman & Lisbeth Oestreicher – Bevrijdingsportretten |url=https://bevrijdingsportretten.nl/portret/otto-birman-lisbeth-oestreicher/ |consulté le=2020-06-14}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=nl |titre=Familie Oestreicher |url=https://www.ru.nl/drillingsberichte/familie-oestreicher/ |site=‘Drillingsberichte’ 1937-1943 (NL) |consulté le=2020-06-14}}</ref>.

=== Après la guerre ===

=== Après la guerre ===