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{{Voir homonymes|Heinrich}}
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{{Infobox Biographie2}}
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”’Katherine A. Heinrich”’ (née le {{date de naissance|21 février 1954}}) est une [[mathématicien]]nne et universitaire [[australie]]nne et [[Canada|canadienne]]. Ses intérêts de recherche incluent la [[théorie des graphes]] et la théorie du design combinatoire. Elle est professeure émérite à l'[[université Simon Fraser]] et comme administratrice universitaire honoraire à l'[[université de Regina]]. Elle est élue présidente de la Société mathématique du Canada de 1996 à 1998, première femme à occuper cette fonction.
”’Katherine A. Heinrich”’ (née le {{date de naissance|21 février 1954}}) est une [[mathématicien]]nne et universitaire [[australie]]nne et [[Canada|canadienne]]. Ses intérêts de recherche incluent la [[théorie des graphes]] et la théorie du design combinatoire. Elle est professeure émérite à l'[[Université Simon Fraser]] et comme administratrice universitaire honoraire à l'[[Université de Regina]]. Elle est élue présidente de la Société mathématique du Canada de 1996 à 1998, première femme à occuper cette fonction.
== Éducation et carrière ==
== Éducation et carrière ==
Katherine Heinrich est née à [[Murwillumbah]], en [[Nouvelle-Galles du Sud]]{{Références multiples|otj}}. Elle commence ses études à l'[[Université de Newcastle (Australie)|université de Newcastle]] en Australie, où elle obtient son diplôme en 1976{{Références multiples|un}}, puis elle réalise dans cette même université une thèse de doctorat, intitulée ”Some problems on combinatorial arrays”, en 1979, supervisée par Walter D. Wallis{{Références multiples|pouliot|mgp}}.
Katherine Heinrich est née à [[Murwillumbah]], en [[Nouvelle-Galles du Sud]]{{Références multiples|otj}}. Elle commence ses études à l'[[Université de Newcastle (Australie)|université de Newcastle]] en Australie, où elle obtient son diplôme en 1976{{Références multiples|un}}, puis elle réalise dans cette même université une thèse de doctorat, intitulée ”Some problems on combinatorial arrays”, en 1979, supervisée par Walter D. Wallis{{Références multiples|pouliot|mgp}}.
Elle rejoint la faculté de mathématiques de l'[[université Simon Fraser]] en 1981{{Références multiples|pouliot}} et a épousé un autre théoricien des graphes de Simon Fraser, {{Lien|langue=en|fr=Brian Alspach}}{{Références multiples|lh}}. Elle est promue professeure titulaire en 1987 et dirige le département de 1991 à 1996. Elle coordonne plusieurs actions de sensibilisation aux mathématiques en direction des jeunes, notamment une conférence pour des préadolescentes intitulée {{Langue|en|texte=Women Do Math}}, {{Langue|en|texte=Discover the Possibilities}}, une exposition intitulée “{{Langue|en|texte=Math in the Malls}}”, et une série de conférences nationales sur l’enseignement des mathématiques.
Elle rejoint la faculté de mathématiques de l'[[Université Simon Fraser]] en 1981{{Références multiples|pouliot}} et a épousé un autre théoricien des graphes de Simon Fraser, {{Lien|langue=en|fr=Brian Alspach}}{{Références multiples|lh}}. Elle est promue professeure titulaire en 1987 et dirige le département de 1991 à 1996. Elle coordonne plusieurs actions de sensibilisation aux mathématiques en direction des jeunes, notamment une conférence pour des préadolescentes intitulée {{Langue|en|texte=Women Do Math}}, {{Langue|en|texte=Discover the Possibilities}}, une exposition intitulée “{{Langue|en|texte=Math in the Malls}}”, et une série de conférences nationales sur l’enseignement des mathématiques.
Elle est nommée vice-présidente académique de l'[[université de Regina]], dans la province canadienne du Saskatchewan{{Références multiples|pouliot}}, où elle effectue deux mandats, de 1999 à 2008. À Regina, elle a aidé à établir un institut d’enseignement du français et à tisser des liens plus étroits entre la ville et l'[[Université des Premières Nations du Canada]]{{Références multiples|vp}}.
Elle est nommée vice-présidente académique de l'[[Université de Regina]], dans la province canadienne du Saskatchewan{{Références multiples|pouliot}}, où elle effectue deux mandats, de 1999 à 2008. À Regina, elle a aidé à établir un institut d’enseignement du français et à tisser des liens plus étroits entre la ville et l'[[Université des Premières Nations du Canada]]{{Références multiples|vp}}.
Elle prend sa retraite académique en 2007 et s’installe à [[Newcastle (Australie)|Newcastle]], en [[Nouvelle-Galles du Sud]], où elle est active dans les [[arts textiles]]{{Références multiples|inspired}}.
Elle prend sa retraite académique en 2007 et s’installe à [[Newcastle (Australie)|Newcastle]], en [[Nouvelle-Galles du Sud]], où elle est active dans les [[arts textiles]]{{Références multiples|inspired}}.