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Après avoir été élu député à [[Paris]], il est candidat à la présidence de l’UMP au [[Congrès de l’Union pour un mouvement populaire de 2012|congrès de l’UMP de 2012]], dont il conteste les résultats qui le donnent perdant face à [[Jean-François Copé]]. Après plusieurs mois de conflit, il finit par conclure un accord avec ce dernier.
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Après avoir été élu député à [[Paris]], il est candidat à la présidence de l’UMP au [[Congrès de l’Union pour un mouvement populaire de 2012|congrès de l’UMP de 2012]], dont il conteste les résultats qui le donnent perdant face à [[Jean-François Copé]]. Après plusieurs mois de conflit, il finit par conclure un accord avec ce dernier.
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Lors de la [[Primaire française de la droite et du centre de 2016|primaire présidentielle de la droite et du centre de 2016]], il l’emporte face aux favoris, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, en défendant un programme [[Libéral-conservatisme|libéral-conservateur]]. Alors qu’il est devenu le favori de l'[[Élection présidentielle française de 2017|élection présidentielle de 2017]], son image de probité affichée est remise en question avec des révélations successives de la presse conduisant à l’« [[affaire Fillon]] ». Il maintient cependant sa candidature et termine en troisième position du premier tour, avec 20,01 % des voix. Il se tient par la suite en retrait de la vie politique.
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Lors de la [[Primaire française de la droite et du centre de 2016|primaire présidentielle de la droite et du centre de 2016]], il l’emporte face aux favoris, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy, en défendant un programme [[Libéral-conservatisme|libéral-conservateur]]. Alors qu’il est devenu le favori de l'[[Élection présidentielle française de 2017|élection présidentielle de 2017]], son image de probité affichée est remise en question avec des révélations successives de la presse conduisant à l’« [[affaire Fillon]] ». Il maintient cependant sa candidature et termine en troisième position du premier tour, avec 20,01 % des voix. Il se tient par la suite en retrait de la vie politique.
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Il est [[Mise en examen|mis en examen]] puis jugé en [[Tribunal correctionnel|correctionnelle]] en 2020 pour des accusations d’[[emploi fictif]] de son épouse, [[Penelope Fillon|Penelope]]. En sus d’une amende de {{Unité|375000}} euros, et le remboursement de plus d’un million d’euros à l’Assemblée nationale, il est condamné en première instance à cinq ans de prison, dont deux ans ferme, pour [[détournement de fonds publics]]. Son épouse et [[Marc Joulaud]], son suppléant de l’époque, sont également condamnés à une amende et de la prison avec sursis, pour complicité de détournement de fonds publics. Il fait appel de cette condamnation.
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