phrase et titre d'œuvre incomplètes, et exemple d'un titre ne démontrant rien : retiré ; réf interne inapproprié remplacée par une réf externe
← Version précédente | Version du 27 novembre 2021 à 06:43 | ||
Ligne 6 : | Ligne 6 : | ||
== Littérature ==
|
== Littérature ==
|
||
Toutes les littératures connaissent des apocryphes, certaines se sont même fait une spécialité d'[[autobiographie]]s apocryphes<ref>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Philippe|nom1=Lejeune|titre=L’autobiographie en France|lieu=Paris|éditeur=[[Armand Colin]]|année=1971|date={{date|8|9|2010}}|numéro d’édition=3|année première édition=1971|réimpression=2010|pages totales=224|isbn=978-2-200-26078-1|lire en ligne=https://books.google.co.uk/books?id=OVnB4I81wtMC&dq=autobiographie+apocryphe&source=gbs_navlinks_s}}{{début citation}}”L’autobiographie apocryphe” : le cas est peu fréquent à l’époque moderne, mais plus courant au {{s mini-|XVII}} et au {{s-|XVIII}}, dans la rédaction des ”mémoires”. Dans ces textes à tendance autobiographique de cette époque, la mention « écrit par lui-même » doit éveiller autant la suspicion que l’intérêt. On sait par exemple que les mémoires de Pontis ont été « recueillis » par Pierre Thomas du Fossé, c’est-à-dire, dans une certaine mesure, écrits par lui. À l’époque moderne, le pis qui arrive est qu’une veuve abusive récrive à sa manière le texte de son mari, comme le fit {{Mme|Michelet}} pour le Mémorial.{{fin citation}}</ref>{{,}}<ref>{{Article|langue=fr|prénom1=Jean-François|nom1=Perrin|titre=Fictions de soi : Rousseau & Casanova, deux stratégies d’écrivain au XVIIIe siècle|périodique=Acta Fabula|numéro=vol. 13, n° 3|date=2012-03-12|issn=2115-8037|lire en ligne=http://www.fabula.org/acta/document6845.php|consulté le=2018-07-01}}</ref>
|
Toutes les littératures connaissent des apocryphes, certaines se sont même fait une spécialité d'[[autobiographie]]s apocryphes<ref>{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Philippe|nom1=Lejeune|titre=L’autobiographie en France|lieu=Paris|éditeur=[[Armand Colin]]|année=1971|date={{date|8|9|2010}}|numéro d’édition=3|année première édition=1971|réimpression=2010|pages totales=224|isbn=978-2-200-26078-1|lire en ligne=https://books.google.co.uk/books?id=OVnB4I81wtMC&dq=autobiographie+apocryphe&source=gbs_navlinks_s}}{{début citation}}”L’autobiographie apocryphe” : le cas est peu fréquent à l’époque moderne, mais plus courant au {{s mini-|XVII}} et au {{s-|XVIII}}, dans la rédaction des ”mémoires”. Dans ces textes à tendance autobiographique de cette époque, la mention « écrit par lui-même » doit éveiller autant la suspicion que l’intérêt. On sait par exemple que les mémoires de Pontis ont été « recueillis » par Pierre Thomas du Fossé, c’est-à-dire, dans une certaine mesure, écrits par lui. À l’époque moderne, le pis qui arrive est qu’une veuve abusive récrive à sa manière le texte de son mari, comme le fit {{Mme|Michelet}} pour le Mémorial.{{fin citation}}</ref>{{,}}<ref>{{Article|langue=fr|prénom1=Jean-François|nom1=Perrin|titre=Fictions de soi : Rousseau & Casanova, deux stratégies d’écrivain au XVIIIe siècle|périodique=Acta Fabula|numéro=vol. 13, n° 3|date=2012-03-12|issn=2115-8037|lire en ligne=http://www.fabula.org/acta/document6845.php|consulté le=2018-07-01}}</ref>. On parle de [[pseudépigraphe]] quand le titre ou le nom de l’auteur est faux<ref>{{Lien web|titre=PSEUDÉPIGRAPHE, adj. et subst. masc.|url=https://www.cnrtl.fr/definition/pseud%C3%A9pigraphe|site=[[TLFi]]|consulté le=27 novembre 2021}}</ref>.
|
||
== Art ==
|
== Art ==
|